sábado, 11 de septiembre de 2010

multidisciplinariedad

Se esboza un nuevo curso para unos, para otros "solo" falta atar cabos y yo propongo seguir fomentando el conocimiento y gusto por todos los campos, sobre todo aquellos realcionados con las disciplinas artísticas, y la dispersión sin ir más lejos.


Christopher Lee haciendo un poco lo que quiere en la Película Umbracle (1970) de Pere Portabella, artefacto inclasificable, heterogéneo e inaprensible donde se presenta una Barcelona quimérica siguiendo los recorridos del afamado actor del Conde Drácula ya en baja. Un flâneur en el desencanto de la posguerra, entre la depresión del sistema de estudios y de los antiguos mitos y códigos del cine de terror. Un poco mi situación extrapolada.

Con este extracto no quiero presentar la película sino al personaje. Con él pretendo dar ejemplo de que la multidisciplinariedad ayuda a crear el mito y reavivar a nuestra siempre latente Bodega.

sábado, 27 de marzo de 2010

Segunda Cata de Vinos


«Boire du vin, c’est boire du génie.»

Charles Pierre Baudelaire


Queridos,


Es siempre un honor invitaros a la Segunda Cata de Vinos de la siempre amada Bodega Bohemia que tendrá lugar el primer viernes del mes de Abril, aguas mil.


Esta vez, dedicaremos la sesión a vinos tintos franceses, el precioso país galo conquistado por Julio Cesar en el siglo primero antes de J.C.


Seguiremos el proceso de la primera cata. Después de un pequeño discurso inaugural del maestro de ceremonias (servidor), degustaremos cada uno de los vinos aportados amablemente por los deliciosos invitados. Valoraremos a vista, olfato y gusto cada una de las divinas botellas. Al igual que la sesión anterior, el invitado que aporte la botella más apreciada por sus compañeros será premiado con el disputado título de Gran Corcho de la Bodega Bohemia, mención que ahora guarda celosamente servidor.


Nos reuniremos en coqueto local de la calle Lancaster a las nueve de la hermosa tarde del viernes 2 de abril.

RSVP.


Hasta entonces,

Jorge Rovira.

viernes, 5 de marzo de 2010

Mallarmé, Manet, Debussy, Diaghilev y Nijinsky.

Nijinsky, interpretando el Prélude de l'aprés-midi d'un faune con el Ballet Ruso de Diaghilev

L’Après-midi d’vn favne, Stéphane Mallarmé

Églogve

LE FAVNE

Ces nymphes, je les veux perpétuer.
Ces nymphes, je les veux perpétuer. Si clair,
Leur incarnat léger qu’il voltige dans l’air
Assoupi de sommeils touffus.
Assoupi de sommeils touffus. Aimai-je un rêve ?
Mon doute, amas de nuit ancienne, s’achève
En maint rameau subtil, qui, demeuré les vrais
Bois mêmes, prouve, hélas ! que bien seul je m’offrais
Pour triomphe la faute idéale de roses —
Réfléchissons…
Réfléchissons… ou si les femmes dont tu gloses
Figurent un souhait de tes sens fabuleux !
Faune, l’illusion s’échappe des yeux bleus
Et froids, comme une source en pleurs, de la plus chaste :
Mais, l’autre tout soupirs, dis-tu qu’elle contraste
Comme brise du jour chaude dans ta toison ?
Que non ! par l’immobile et lasse pamoison
Suffoquant de chaleurs le matin frais s’il lutte,
Ne murmure point d’eau que ne verse ma flûte
Au bosquet arrosé d’accords ; et le seul vent
Hors des deux tuyaux prompt à s’exhaler avant
Qu’il disperse le son dans une pluie aride,
C’est, à l’horizon pas remué d’une ride,
Le visible et serein souffle artificiel
De l’inspiration, qui regagne le ciel.

Ô bords siciliens d’un calme marécage
Qu’à l’envi des soleils ma vanité saccage,
Tacites sous les fleurs d’étincelles, CONTEZ
» Que je coupais ici les creux roseaux domptés
» Par le talent ; quand, sur l’or glauque de lointaines
» Verdures dédiant leur vigne à des fontaines,
» Ondoie une blancheur animale au repos :
» Et qu’au prélude lent où naissent les pipeaux,
» Ce vol de cygnes, non ! de naïades se sauve
» Ou plonge…
» Ou plonge… Inerte, tout brûle dans l’heure fauve
Sans marquer par quel art ensemble détala
Trop d’hymen souhaité de qui cherche le la :
Alors m’éveillerais-je à la ferveur première,
Droit et seul, sous un flot antique de lumière,
Lys ! et l’un de vous tous pour l’ingénuité.

Autre que ce doux rien par leur lèvre ébruité,
Le baiser, qui tout bas des perfides assure,
Mon sein, vierge de preuve, atteste une morsure
Mystérieuse, due à quelque auguste dent ;
Mais, bast ! arcane tel élut pour confident
Le jonc vaste et jumeau dont sous l’azur on joue :
Qui, détournant à soi le trouble de la joue,
Rêve, dans un solo long que nous amusions
La beauté d’alentour par des confusions
Fausses entre elle-même et notre chant crédule ;
Et de faire aussi haut que l’amour se module
Évanouir du songe ordinaire de dos
Ou de flanc pur suivis avec mes regards clos,
Une sonore, vaine et monotone ligne.

Tâche donc, instrument des fuites, ô maligne
Syrinx, de refleurir aux lacs où tu m’attends !
Moi, de ma rumeur fier, je vais parler longtemps
Des déesses ; et, par d’idolâtres peintures,
À leur ombre enlever encore des ceintures :
Ainsi, quand des raisins j’ai sucé la clarté,
Pour bannir un regret par ma feinte écarté,
Rieur, j’élève au ciel d’été la grappe vide
Et, soufflant dans ses peaux lumineuses, avide
D’ivresse, jusqu’au soir je regarde au travers.

Ô nymphes, regonflons des SOUVENIRS divers.
» Mon œil, trouant les joncs, dardait chaque encolure
» Immortelle, qui noie en l’onde sa brûlure
» Avec un cri de rage au ciel de la forêt ;
» Et le splendide bain de cheveux disparaît
» Dans les clartés et les frissons, ô pierreries !
» J’accours ; quand, à mes pieds, s’entrejoignent (meurtries
» De la langueur goûtée à ce mal d’être deux)
» Des dormeuses parmi leurs seuls bras hasardeux ;
» Je les ravis, sans les désenlacer, et vole
» À ce massif, haï par l’ombrage frivole,
» De roses tarissant tout parfum au soleil,
» Où notre ébat au jour consumé soit pareil.
Je t’adore, courroux des vierges, ô délice
Farouche du sacré fardeau nu qui se glisse,
Pour fuir ma lèvre en feu buvant, comme un éclair
Tressaille ! la frayeur secrète de la chair :
Des pieds de l’inhumaine au cœur de la timide
Que délaisse à la fois une innocence, humide
De larmes folles ou de moins tristes vapeurs.
» Mon crime, c’est d’avoir, gai de vaincre ces peurs
» Traîtresses, divisé la touffe échevelée
» De baisers que les dieux gardaient si bien mêlée ;
» Car, à peine j’allais cacher un rire ardent
» Sous les replis heureux d’une seule (gardant
» Par un doigt simple, afin que sa candeur de plume
» Se teignît à l’émoi de sa sœur qui s’allume,
» La petite, naïve et ne rougissant pas :)
» Que de mes bras, défaits par de vagues trépas,
» Cette proie, à jamais ingrate, se délivre
» Sans pitié du sanglot dont j’étais encore ivre.

Tant pis ! vers le bonheur d’autres m’entraîneront
Par leur tresse nouée aux cornes de mon front :
Tu sais, ma passion, que, pourpre et déjà mûre,
Chaque grenade éclate et d’abeilles murmure ;
Et notre sang, épris de qui le va saisir,
Coule pour tout l’essaim éternel du désir.
À l’heure où ce bois d’or et de cendres se teinte.
Une fête s’exalte en la feuillée éteinte :
Etna ! c’est parmi toi visité de Vénus
Sur ta lave posant ses talons ingénus,
Quand tonne un somme triste ou s’épuise la flamme.
Je tiens la reine !
Je tiens la reine ! Ô sûr châtiment…

Je tiens la reine ! Ô sur châtiment… Non, mais l’âme
De paroles vacante et ce corps alourdi
Tard succombent au fier silence de midi :
Sans plus il faut dormir en l’oubli du blasphème,
Sur le sable altéré gisant et comme j’aime
Ouvrir ma bouche à l’astre efficace des vins !

Couple, adieu ; je vais voir l’ombre que tu devins.

LA SIESTA DE UN FAUNO.

Égloga.

EL FAUNO.

¡Estas ninfas quisiera perpetuarlas!

Tan claro,

su ligero encarnado, que en el aire revuela

abatido de espeso letargo.

¿Amaba un sueño?

Montón de antigua noche, mi duda ha terminado

en mucha rama tenue que, habitando las mismas

florestas, prueba, ¡ay!, que sólo me ofrecía

como triunfo la falta ideal de las rosas.

Reflexionemos...

Si las mujeres que glosas

un anhela semejan de tus sentido pródigos,

la ilusión, fauno, escapa de los ojos azules

y fríos, tan llorosa fuente de la más casta:

mas la otra, en suspiros, ¿dices tú que contrasta

como brisa del día cálida en tu toisón?

¡Qué no! por el inmóvil y cansado desmayo

de calor sofocando la matinal frescura,

no murmura agua alguna que no vierta mi flauta

al otero rociado de acordes; sólo el aire

pronto a exhalarse fuera de los dos tubos, antes

que disperse el sonido en infecunda lluvia,

es, en el horizonte de línea perfecta,

el invisible y sereno aliento artificial

de toda inspiración que hasta el cielo retorna.

Oh ribas sicilianas de un sereno pantano

Que en lucha con los soles mi vanidad despoja,

Tácitas bajo flores de centellas, DECID

Que yo cortaba aquí huecos juncos domados

por el talento; y sobre el oro de los sotos

lejanos, consagrando su viña a las fontanas,

ondula una blancura animal en reposo:

y que, al preludio lento donde nacen las flautas,

vuelo de cisnes, ¡no!, de náyades se escapa

o hunde...

Inerte, todo arde en la hora encendida,

sin decir por cual arte en conjuro partieron

tanto ansiados hímenes por la que busca el la:

me levantaré, ¡lirios!, al naciente fervor,

recto y solo, bajo hondas antiguas de fulgor,

seré uno de vosotros para la ingenuidad.

Sólo esta nada dulce por su labio anunciada,

el beso, calladamente, perfidias asegura,

mi pecho virginal muestra una mordedura

misteriosa, legado de algún augusto diente;

¡ya basta! arcano tal optó por confidente,

junco basto y gemelo bajo el azul sonando:

que, desviando hacia sí la turbada mejilla,

sueña, en un solo largo, que nosotros gozamos

la belleza en redor llena de confusiones

falsas entre sí mismas y nuestro canto crédulo

y de lograr, tan alto como amor se modula,

desvanecer del sueño ordinario de flanco

o dorso puro, ciega mi vista que los sigue,

una sonora, vana y monótona línea.

¡Quieres, pues, instrumento de fugas, oh maligna

siringa, florecer en el lago aguardándome!

Con mi rumor altivo quiero hablar largo tiempo

de las diosas; y, por idólatras pinturas,

despojar todavía cinturas a su sombra:

así, cuando a las vides la claridad succiono,

desterrando un dolor por la mentira aislado,

alzo, riente, el exhausto racimo al cielo estivo

y soplando en sus pieles brillantes, de embriaguez

ávido, hasta el ocaso yo miro a su trasluz.

Oh ninfas, rebasemos los múltiples RECUERDOS.

"Mis ojos, horadando los juncos, asestaban

cada talle inmortal que hunde fuego en las ondas

con un grito de rabia al cielo de la fronda;

y el espléndido baño de cabellos huía

en estremecimiento y brillos, ¡pedrerías!

Corro; cuando a mis pies se enredan (afligidas

de languidez gustada en el mal de ser dos)

entre sus solos brazos las durmientes casuales

yo, sin desenlazarlas, las arrebato y hurto,

odiado por la frívola sombra, hasta el macizo

de rosas que desecan todo perfume al sol

donde nuestro ardor sea como el día extinguido".

¡Yo te adoro, enfado de vírgenes, delicia

feroz del sacro cuerpo desnudo que resbala

y huye a mi ardiente labio en destello agitado!

el espanto secreto que brota de la carne:

de los pies de la cruel al pecho de la tímida,

que abandona a la vez una inocencia, húmeda

de loco llanto o menos afligidos vapores.

"Mi crimen es haber, feliz de vencer miedos

traidores, separado intrincados cabellos

de besos que los dioses guardaban confundidos,

pues iba apenas para velas ardiente risa

tras los pliegues felices de una sola (guardando

con dedo simple para que su candor de pluma

se tiñera del gozo de su hermana que enciéndese,

la pequeña, cándida y sin ruborizarse:)

que de mis brazos rotos por las muertes inciertas

como una presa siempre ingrata se libera

sin piedad del sollozo del que aún ebrio estaba".

¡Tanto peor! la dicha de otras me arrastrará

por su trenza a los cuernos de mi frente sujeta:

tú sabes, pasión mía, que, púrpura madura,

cada granada estalla con murmullo de abejas,

y nuestra sangre, amando a quien viene a cogerla,

fluye por el eterno enjambre del deseo.

A la hora en que el bosque muere en oro y cenizas,

una fiesta se exalta en muriente follaje:

¡Etna! es en tu redor, visitado por Venus,

en tu lava posando sus talones ingenuos,

cuando retumba un sueño donde expira la llama.

¡Tengo la reina!

¡Oh, cierto castigo...!

Mas el alma,

de palabras vacante y este cuerpo aturdido,

sucumben a la fiera calma del mediodía;

sin más, fuerza es dormir en el blasfemo olvido,

en la sedienta arena yaciendo, ¡pues me place

abrir la boca al astro eficaz de los vinos!

Adiós, oh par; veré la sombra en que os volvéis.

viernes, 12 de febrero de 2010

Speedy creation #2

me ha pedido que, junto con el mail que nos ha enviado con las instrucciones del Speedy #2, nos miremos esto por si pude servirnos de inspiracion.

De todas formas me ha expresado su preocupacion porque sufre un language barrier y no sabe si ha expresado bien la tarea, por lo que nos invita a que contactemos con ella via mail en caso de cualquier duda.
su fiel servidora,
nana


lunes, 8 de febrero de 2010

viernes, 5 de febrero de 2010

Une Histoire Vertebrale - Jeremy Clapin



Para amenizar las horas muertas de navegación por internet con algo ñoño pero de buen gusto y con un toque de humor.

jueves, 4 de febrero de 2010

Acceso gastrointestinal.


Hace tiempo te escribí un poema
¿dónde se quedó aquella pena?

En el limbo de los besos,
seguro.
Donde acaba lo blanco y empieza el NEGRO.
En tus brazos flaquitos,
en tus piernas, que cabían en mis oídos.

Una vez sonaste como una sinfonía, una sonata después.
un solo de piano,... una nota.

Un RE sostenido que llegaba hasta mis huesos de cal,
¡Los rompían!

al final, eres sólo aire,
pero no de aquel sucio que respiramos, tú, yo, el mundo,
sino de aquel otro blanco que no se respira, se esnifa.

Ahora, estás en un bar, en otro,
en copas de mezclas insospechadas...
en fin.
Lo que queda sería suficiente,
si durara.